Donc Help, I'm Alive, on connaît, c'est bien bien bien. Puis vient Sick Muse, l'intro sonne étrangement déjà entendu, puis ça part, le refrain transporte avec la voix plus aiguë qu'à l'habitude d'Emily Haines et c'est pas pour nous déplaire.
La suite arrive avec Satellite Mind et sa ligne de basse qui aurait été digne d'un Alex Kidd dans les années MegaDrive. Puis survient un battement qui semble venir de nos coeurs, très vampirique, Twilight Galaxy nous force à nous mettre à son rythme. Et puis ouhhh.
L'intro de Gold Guns Girls ressemble à s'y méprendre à du KASMs, puis la basse, puis c'est très dark 90's vidéo game. Je vais passer pour un no-life, mais sans la voix de Haines, je trouve que ça fait très B.O de jeu.
Le deuxième premier extrait de Fantasies arrive tranquillement, avec ses airs de tubes de l'été qui sera sur tout les dancefloors, ou plutôt en chanson avec un clip rapide dans lequel une fille court. Vite très vite, pour rejoindre ses amis danseurs pour le refrain. Et puis comme il en faut bien une et que les canadiens sont bons la dedans, ils nous offrent une ballade trip hop comme on les aimes. Collect Call est planant à souhait.
Mais ne nous endormons pas, car de toute façon Front Row nous réveillera, toujours cette maîtrise de la mélodie qui semble parfaite et qui reste dans la tête, et en plus d'y rester, elle la secoue -la tête- et en rythme s'il vous plaît. Blindness c'est la même chose en plus doux, mais pas plus mou, et enfin Stadium Love, est comme son nom l'indique à jouer dans un stade. Beaucoup d'énergie, mais est ce vraiment judicieux d'en mettre autant à la fin d'un album ?
En tout cas, Fantasies est encore une fois un très bon album de Metric. Je le conseille très vivement. Et puis cette vidéo ...
Pix by: Wendy Lynch